THE CALL

Un savant mélange de « Psycho / Le silence des Agneaux » avec une pointe de « Souviens-toi l’été dernier » et de « Saw ».

De l’action, de l’aventure, du thriller psychologique (j’aime ^^) et un peu d’humour bien noir (comme le café de Grand-Mère ;)).

Tous les acteurs y compris les éléments du décor, ont un  jeu d’acteurs grandiose.

Sauf qu’il y a un hic (ben oui comme dans toute vie, rien est ROSE ; enfin parfois ;)), on devine facilement l’intrigue du film et la psychologie du tueur en série, même si par moment de grande pensée très glauque vienne dans votre mémoire. Souvenez vous de Seven , qui fût pour ma part une vraie boucherie visuelle .

Ici c’est une boucherie très malsaine mais très imagée, comprenez par là que si telle ou telle idées vous viennent à l’esprit, ce n’est pas vous qui êtes dérangés mais bien le scénario qui penche vers du malsain, voire glauque psychologiquement.

C’est rare qu’un film nous fasse amplement réfléchir sur telles ou telles situations.

Une photographie digne des Grands nom de ce genre. Oubliée vite Halle Berry en Catwoman, même si à un certains moments du film on s’amuse à refaire les dialogue en appelant Batman ;). (Vous comprendrez rien qu’en regardant le film).

Après niveaux mode, ben c’est du déjà vue et très caricaturé. Du style c’est toujours une blonde qui ce fais capturé dans tel ou tel film avec comme habit, généralement un jean et un top (youki, quelle originalité ;)).

Mais encore le héro accro à son boulot et qui n’a que seul habit son costume de boulot. Mais que fait la Fashion Police ?

Pour rattraper le coup, on va direct applaudir Halle Berry pour sa Coupe qui lui va bien mais on dirait que la femme de Ménach’ à oublié c’est affairch’ ;)

Un film à voir et à revoir dans le noir et avec votre téléphone branché, c’est plus drôle. 
Un 0.5 point d’enlevé pour des scènes assez « Je devine déjà ce qui va se passer dans ce film », ce qui fait 4.5/5 pour ma part.

Et n’oubliez pas, si vous appelez le 911, ne raccrochez pas ou vous risquerez de le regretter amèrement ;)

Quelques Secrets de Tournage :

L'idée du film a commencé à émerger dans la tête du scénariste Richard D'Ovidio après que sa femme Nicole D'Ovidio a entendu un reportage sur les centres d'appel d'urgence : "Le sujet m'intriguait, et j'avais envie d'en savoir plus. (...). Les gens ne savent pas grand-chose sur ceux qui font cette profession et de ce qu'elle implique au quotidien. On entend parfois aux infos l’enregistrement d’un des appels mais on connaît rarement l'identité des opérateurs et les mesures qu'ils ont prises ou les émotions qu'ils ont ressenties au moment précis de l'appel", se remémore Richard.

Pour les besoins du scénario, Richard D'Ovidio s'est rendu dans un centre d'appel d'urgence du 911, à Los Angeles. Il voulait savoir exactement comment cela se déroulait, pour être au plus proche de la réalité : "J'ai compris qu'ils étaient le centre névralgique de la ville. Ils géraient la police, les pompiers, les ambulances : sans leurs instructions, personne ne bougeait", explique-t-il. Il a ainsi été le témoin d'un grand nombre d'appels. "À chaque appel, mon estomac se nouait, mais les opérateurs restaient parfaitement calmes !" De cette expérience, D'Ovidio a gardé quelques histoires pour créer une oeuvre de fiction.

En apportant le scénario au centre d'appel du 911 dont Richard D'Ovidio s'est inspiré pour The Call, il s'est rendu compte que la réalité avait dépassé la fiction : "C’est alors que les opérateurs ont commencé à nous raconter l'histoire de cette fillette qui avait été enfermée dans le coffre d'une limousine et qu'ils avaient tenté de localiser à travers toute la ville", se souvient-t-il.

La Bande Annonce :

Images du film :