LÉGENDES URBAINES - PART.3

CHAPITRE 15 : Une étrange voisine.

Légendes Urbaines - Partie 3

Un jeune homme habitait dans un immeuble. Une nuit, quelqu'un frappe à sa porte. Il se lève et va ouvrir. Une femme se tient là et lui demande si elle peut passer la nuit chez lui parce que son conjoint la frappe.

 

 Elle le rassure en lui disant qu'elle a appelé sa famille et qu'ils viendront la chercher demain matin à la première heure. Le jeune homme lui donne une couverture et lui propose de passer la nuit sur le sofa.

 

À son réveil, la couverture est pliée sur le divan et la jeune femme est partie. Il se prépare et part travailler.

 

Le soir suivant, on cogne de nouveau à sa porte. La même femme est à sa porte, mais cette fois-ci elle est marquée de coups au visage. Elle lui demande une seconde fois l'hospitalité. Ne pouvant qu'accepter, il lui propose de dormir au même endroit que la veille.

 

Le matin, elle n'est plus là. Le même manège se reproduit tout au long de la semaine. Inquiet, le jeune homme se rend au poste de police pour expliquer la situation. L’agent lui montre une photo sur laquelle il reconnaît la femme. La police lui apprend que cette femme a été battue à mort dans son immeuble par son conjoint…

 

CHAPITRE 16 : La Poupée.

Légendes Urbaines - Partie 3

Une jeune maman vivant avec sa petite fille de 8 ans passa un beau jour devant une boutique de vieux jouets. Attirée par la devanture originale, se sentant nostalgique, elle poussa la porte en bois et fit tinter les clochettes de l’entrée. Un vieil homme à l’air aigri l’observait. Elle se promena dans les allées où étaient entassés des chevaux de bois, des trains miniatures et toutes sortes de gadgets adorés par les enfants.

Derrière le comptoir, une boîte de verre l’intrigua soudain. Dedans était maintenue une poupée de collection, dans sa robe bleue nuit et son petit gilet de dentelle. L’objet semblait ancien et cher. Elle questionna le vieil homme derrière la caisse sur son prix. Avec un faible sourire hésitant, il lui annonça une offre tout à fait correcte qu’elle accepta, heureuse d’avoir fait une si bonne affaire, et certaine de faire plaisir à sa fille. Au moment où elle allait franchir la porte en bois pour sortir, le vieil homme déclara : « Surtout, ne la sortez pas de sa boîte le soir ».

 

Ces paroles avaient inquiété la jeune femme qui décida que le vendeur devait être un peu sénile, et qu’elle n’allait pas gâcher la joie de son enfant en lui donnant ces instructions ridicules. En rentrant chez elle, elle tendit la boîte à la fillette, qui fut heureuse de recevoir cette surprise. Cependant, les paroles du vieillard retentissait dans la tête de la maman, et, par précaution (elle était une femme très superstitieuse) elle indiqua à sa fille de ranger sa poupée dans la boîte chaque soir et de la laisser en bas de l’escalier. Cette dernière acquiesça et partit jouer avec.

 

 

Le soir, la petite suivit les instructions de sa mère au sujet de sa poupée, et alla se coucher. Dans la nuit, elle fut réveillée. Quelqu’un parlait. Tendant l’oreille, elle se pencha vers la porte de sa chambre pour identifier la voix qu’elle entendait. C’était une petite voix cinglante, qui chuchotait presque. En se concentrant un peu plus, elle arriva à discerner les paroles prononcées…

 

« Je suis à la première marche. Je suis à la deuxième marche. Je suis à la troisième marche. »

 

 

Apeurée, elle eut –comme tous les enfants de son âge – le réflexe de courir dans la chambre de sa mère, qui l’invita à dormir avec elle mais qui précisa que c’était la dernière fois, la fillette étant sujette à de nombreuses frayeurs nocturnes. Elle la rassura en lui disant que la voix n’était que dans sa tête, puis elles se rendormirent ensemble.

 

Le lendemain soir, à la même heure, son sommeil fut de nouveau perturbé par la même petite voix cinglante.

 

« Je suis à la quatrième marche. Je suis à la cinquième marche. Je suis à la sixième marche. »

 

Se cachant sous les draps de ses mains tremblantes, elle eut du mal à se rendormir.

 

Le soir suivant, ce fut la même rengaine.

 

« Je suis à la septième marche. Je suis à la huitième marche. Je suis à la neuvième marche. »

 

 

Persuadée que cette voix fluette était celle de sa nouvelle poupée, elle vérifia le lendemain où son jouet se trouvait. Elle en parla à sa mère, qui lui expliqua en soupirant que non, une poupée ne pouvait pas parler, et qu’en plus elle se trouvait là où elle l’avait rangé la veille : dans sa boîte, en bas de l‘escalier.

 

 

Le soir d’après, le phénomène se répéta.

 

« Je suis à la dixième marche. Je suis sur le palier. »

 

La fillette retint son souffle.

 

« Je suis devant ta porte ».

 

La fillette tira son drap sur ses yeux.

 

« Je suis en bas de ton lit. »

 

La fillette sentit ses membres se raidirent et son cœur battre la chamade.

 

« Je suis tout près de toi. »

 

Le drap s’envola et la poupée était là sur le matelas, avec un grand couteau.

 

CHAPITRE 17 : La Tarte Aux Pommes.

Légendes Urbaines - Partie 3

Le soir d'Halloween, un vieil homme du New Jersey a été retrouvé mort dans la cuisine de sa maison. Il vivait seul avec sa femme. L'homme n'était pas de nature facile et il maudissait les enfants.

 

 

Le 31 octobre au matin, le vieil homme avait minutieusement inséré des lames de rasoir dans des pommes qu’il prévoyait distribuer aux enfants le soir venu.

 

Sa femme qui s’opposait fermement aux actes criminels de son mari grincheux décida d'arrêter le massacre prévu par le vieil homme. Elle lui prépara sa tarte préférée et l'invita à en dévorer une bonne pointe au dessert, juste avant que les enfants ne viennent frapper à la porte.

 

 

L'homme, qui à la manière d’un porc prenait d’énormes bouchées de tout ce qu’il ingérait, demanda à sa femme juste avant d’avaler :

 

« Mais où as-tu pris les pommes pour faire la tarte, je les avais toutes prises ce matin? »

 

C’est en ingurgitant qu’il obtint la réponse à sa question alors qu’il se trancha la gorge de l'intérieur...

 

CHAPITRE 18 : Le Dépeceur de Mons.

Légendes Urbaines - Partie 3

Samedi soir, seule chez elle, Coralie décide d'aller au cinéma voir un film d'action, sorti il y a une semaine dont les critiques étaient bonnes. Elle va donc en voiture jusqu'au complexe cinématographique situé en centre-ville.


Après la séance, elle retourne à sa voiture et découvre une vieille dame installée sur le siège passager…

 

 

Intriguée, elle lui demande ce qu'elle fait là. La petite vieille lui répond alors qu'elle est allée au cinéma, que son petit-fils devait venir la chercher mais qu'il n'était toujours pas arrivé et qu'elle avait peur de rentrer à pied seule si tard.

 

Coralie lui demande son adresse, et décide de la raccompagner puisqu'elle n'habite pas loin de chez elle.
Sur le trajet, les deux femmes échangent quelques banalités, quand Coralie remarque que la vieille dame à des mains assez grandes, plutôt des mains d'homme.


Effrayée, elle continue sa route, et, non loin de chez elle, provoque volontairement un accident...

 

 

La police arrive, et la "petite vieille" a mystérieusement disparue. En ouvrant le coffre, les policiers découvrent une tronçonneuse, des sacs-poubelle et du chloroforme. La police en a déduit que la "petite vieille" était en fait un tueur en série, le "Dépeceur de Mons", qui se déguise en vieille dame pour approcher ses victimes...

 

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