LA CRÉATURE DE METEPEC

Nous sommes au Mexique. Marao Lopez est agriculteur et possède un petit ranch du coté de la ville de Metepec. Ce n'est pas le genre de personne qui perd son sang froid. On peut parler de lui comme d'un homme tranquille et sans histoire. Il entretient de bons rapports avec ses voisins et fait son devoir de citoyen ordinaire. Terre à terre ce n'est pas un homme en proie au doute. Non, c'est plutôt quelqu'un qui pense que l'argent a plus de pouvoir que Dieu.

Pour se débarrasser des rats qui venaient la nuit visiter ses granges, il avait installé des pièges. Le 11 mai 2007 il découvre, pris dans l'un de ses pièges, une créature d’une trentaine de centimètres complètement apeurée.

 

La Créature de Metepec - Mythes & Légendes Urbaines

Quelle ne fut pas sa surprise de trouver une autre créature qu'un rat, pris dans l'un de ses pièges ! De plus une créature qu’il n'arrive pas à identifier ! Après 36 heures de peur et de stress, il décide de tuer son cauchemar. Plongeant la créature dans une fosse remplie d'eau et, malgré ses cris de cochon, il réussit après plusieurs heures et plusieurs tentatives à lui ôter la vie.

Après des mois à ressasser sa peur et sous l'influence de Jaime Maussán, un spécialiste des histoires paranormales, Marao Lopez prend la décision de remettre le corps à des scientifiques. En décembre 2008 il confia donc la dépouille à une université.

 

La Créature de Metepec - Mythes & Légendes Urbaines

L’histoire de Marao Lopez va s’achever de manière tragique. Il est mort brûlé dans sa voiture peu après avoir donné sa précieuse trouvaille aux scientifiques. Les flammes de l'incendie avaient une température beaucoup plus élevée que la normale... Même si la thèse accidentelle est officielle, beaucoup pensent qu'il s'agit d'un crime.

Après s'être penché sur la petite créature, les scientifiques affirmèrent qu'il s'agissait probablement d'un tamarin, une espèce de singe qui présente la particularité d'avoir les yeux positionnés de manière différente par rapport à ses congénères.

 

La Créature de Metepec - Mythes & Légendes Urbaines
La Créature de Metepec - Mythes & Légendes Urbaines

L'histoire aurait pu en rester là si le scientifique, Maussán,  n'était pas un personnage du genre borné. Mi-avril 2009, il remet la créature préalablement momifiée au docteur Jesus Higuera, chef du service d'imagerie de l'Institut Mexicain de Nutrition. Après l'avoir entièrement scanné, le docteur Higuera découvre quelque chose qu'il décrit comme d'absolument incroyable ! Le cerveau de la créature est extrêmement développé, bien plus que celui de n'importe quelle créature connue !

 

 Le docteur écarte immédiatement la possibilité qu'il puisse s'agir d'un primate, qualifie la créature de « très intelligente »  et penche clairement pour l'option de l’espèce inconnue.


Devant le nombre de questions suscitées par la créature, la décision est prise de l'envoyer à trois laboratoires mexicains et un laboratoire canadien, afin qu'ils mènent des tests d'identification d’ADN. L’ADN ne put être identifié !


Comme dans le cas de l'Institut Mexicain de Nutrition, les scientifiques qui se sont attelés à la tâche n'ont pu que constater avec dépit que la créature est bien inconnue. En plus d'un ADN inconnu, son anatomie semble défier les lois de la nature. Cette animal possède une boîte crânienne volumineuse notamment la partie arrière de sa tête ce qui la rapproche de l'homme. Elle serrait donc intelligente. Son squelette a les caractéristiques d'un reptile, ses dents n'ont pas de racine et sa morphologie, lui permet, de rester très longtemps sous l'eau, comme Marao Lopez a pu le constater à ses dépends. Les tests pratiqués montrent également que les cellules analysées n'existent tout simplement pas sur terre !

 

REAGIR A L’ARTICLE :

 


Politique de confidentialité | Politique des cookies
© Copyright Horror-ScaryWeb.com 2005-2024 - Tous droits réservés Copie partielle interdite. Tous les contenus multimédia (images, photos, vidéos..) diffusés sur ce site sont la propriété de leursauteurs ou ayants droits respectifs.